Le coin du masochiste

DOULEUR, BONHEUR !

Bon à savoir :

  • J’accueille les soumis masochistes ou les masochistes tout court.
  • Soucieuse de préserver votre privée et professionnelle, je veille aux marques que je laisse. Leur durée est négociée en amont.
  • Chez moi, votre masochisme a ses limites. Pas de ballbusting intense ni de passages à tabac.
  • Pas de marquage permanent (scarifications, branding, tatouage).

« Mais pourquoi vouloir avoir mal ?! » , s’étonnent beaucoup de gens… dont certains pratiquent le crossfit, la musculation ou un sport de combat. Une réponse, physiologique, tient en un mot : les endomorphines, ces hormones du plaisir qui régulent la douleur. D’où, lors d’une séance bien menée (et après), la sensation d’être « perché » et, souvent, l’envie de recommencer.
Alors, accros, les masos ? Pas forcément. Il n’empêche que ces jeux ne conviennent pas à tous. Les douillets approuveront !

Fausses idées, corrigez !

1- Un-e maso aime juste avoir mal.
FAUX. Tout dépend du contexte, du ou de la partenaire, de la partie du corps concernée, de la gestion de la séance…

2- Un objet SM en vaut un autre.
FAUX. D’une roulette de Wartenberg (piquante) à un martinet à lanières épaisses (lourd) en passant par la canne anglaise (cinglante), chaque instrument crée une senstion particulière. Connaître son masochisme, c’est avoir identifié ce qui fonctionne pour soi. Le masochisme oecuménique est une option.

3- D’une séance SM à l’autre, la résistance physique est la même.
FAUX. Elle varie en fonction de l’état de santé, de fatigue, de stress, de la prise de médicaments, et d’une variable au doigt mouillé : l’état psychologique.

4- Le masochisme physique ou psychologique, c’est pareil.
FAUX. Le premier est à mon avis plus joyeux que le second, et surtout de mon ressort.