Non ! Aïe ! Aïe !

En me rendant dans le Cruel Boudoir, la porte s’ouvrit lentement, révélant un intérieur sombre et mystérieux. Je franchis le seuil et Madame Lule m’ordonna de me positionner à genoux et de lui montrer les positions d’esclaves que j’ai apprises après en avoir découvertes quelques-unes lors de la séance précédente. Avant cela, Madame Lule décida de me mettre une cage de chasteté en métal. Je commença par lui montrer la position de l’attente, de l’attention, du mur, du nadu, du collar me….

  • Madame Lule : Oh attendez, je vais en profiter pour vous mettre un collier.

Je continua avec la position du modest kneel, à genoux, la table, le tabouret, le sol et la poupée sexuelle.

  • Madame Lule : Ne bougez pas ! J’adore cette position.

Madame Lule se rapprocha et ramena avec elle un objet que je ne connaissais pas et que je n’avais pas encore vu. Cet objet, c’était un tapis de champ de fleurs.

  • Madame Lule : Voulez-vous que je le mette sous votre dos ?
  • K. : Oui bien sûr si vous le voulez.

À cette question, je ne refusai pas sa proposition. Je me suis dit que ce tapis allait me détendre, me soulager, me relaxer mais ce tapis possédait un tout petit détail auquel je n’avais pas fait attention et qui avait de très grandes conséquences dû à l’ambiance sombre du Cruel Boudoir. Je me releva puis m’allongea tout doucement sur le tapis et je compris tout de suite la subtilité de ce tapis.

  • K. (surpris) : Ah oui !

Ce tapis possédait tout simplement plein de petits picots et mon dos s’en souvient encore ! Madame Lule me mit un bandeau sur les yeux pour m’empêcher d’anticiper ses futurs sévices. Elle continua en me mettant des électrodes sur les cuisses en réglant le boîtier pour faire en sorte que les électrodes s’activent en fonction du bruit pour rajouter une part d’imprévisibilité. Ensuite, Madame Lule m’ordonna de mettre mes bras au-dessus de ma tête afin de lui laisser un accès libre à mon corps. Madame Lule commença à me torturer le corps avec une roulette de Wartenberg en passant par les bras, les aisselles, le ventre, sous les pieds et en n’oubliant pas de passer par mes tétons bien évidemment. Pour que je ressente les picots du tapis, Madame Lule me demanda de poser mes jambes sur une chaise pour que l’intégralité de mon corps repose sur le tapis. Ajouté à cela, Madame Lule me mit des pinces sur les tétons qui devenaient de plus en plus sensibles mais aussi sur mon ventre. Dès qu’une pince était trop petite ou tombait, Madame Lule les remettait dans la boîte avec les autres pinces pour en prendre d’autres mais le bruit du métal contre du métal, cela faisait du bruit.

  • Les électrodes : Zzzzt !
  • K. : Aïe !

Pour que je ressente davantage de douleur, Madame Lule a eu l’idée de s’appuyer sur mon torse pour faire raviver la douleur sur mon dos mais la douleur était supportable. Suite à cela, Madame Lule me fit basculer de droite à gauche et à ce moment-là, mes souvenirs des grains de riz me remontèrent au cerveau et je ressentis tout de suite la douleur des picots qui devenaient de plus en plus insoutenables. L’ensemble de ces supplices cumulés rendait la résistance tellement plus difficile que j’ai dû dire le mot magique.

Après avoir repris mon souffle, je me plaça sur la croix de Saint-André face au mur et Madame Lule m’attacha aux quatre coins pour m’éviter d’échapper aux supplices qui allaient suivre. Elle posa le boîtier des électrodes à ma droite, à hauteur de ma tête pour que le bruit de ma voix et ceux des instruments activent les électrodes. Madame Lule réchauffa mon dos et mes fesses avec des coups de martinet, de fouet et de canne. Au bout de quelques minutes entre deux séries de coups, Madame Lule me proposa : 

  • Madame Lule : Et si je vous pinçais les tétons ?
  • K. (réaction spontanée) : Ah non non non !
  • Madame Lule (en rigolant) : Comment ça non ! Mais si si si !!!
  • K. : Aïe ! Aïe ! Aïe !
  • Madame Lule : Mais vous trichez ! Pourquoi tournez-vous votre tête à gauche ? C’est pour ne pas déclencher les électrodes. C’est de la triche !
  • K. : Non ! Non ! Aïe ! Aïe ! Aïe !

Après quelques minutes, Madame Lule s’éloigna en se rendant au bout de la pièce pour une certaine raison (je compris à la fin pourquoi) et je souffla pour reprendre mes esprits mais au bout de quelques secondes : 

  • Madame Lule : Attention j’arrive !
  • Les électrodes : Zzzzt ! (au son de la voix de Madame Lule)
  • K. : Aïe !

À la fin de la séance, je m’allongea sur le ventre à la demande de Madame Lule. Elle m’attacha les mains et les jambes entre eux avec une corde afin de m’immobiliser. Madame Lule s’éloigna de nouveau puis revint et après quelques secondes je compris tout de suite qu’elle n’était pas revenue les mains vides. Les gouttes de cire tombaient les unes après les autres sur mon dos et mes fesses déjà bien endoloris par les coups de martinet, de fouet et de cannes. Pour soulager la douleur, Madame Lule glissa un glaçon sur les gouttes de cire séchées provoquant contraste saisissant entre la chaleur de la cire et le froid du glaçon. Ajouté à cela, les piques de la roulette de Wartenberg offraient une sensation de picotement intense, amplifiant encore davantage les sensations contradictoires me permettant de prendre beaucoup de plaisir.