Tant de malchance !

J’entrai dans le couloir sombre, le cœur battant d’anticipation. Je fermai le rideau derrière moi, m’isolant du reste du monde, puis toquai à la porte. Madame Lule ouvrit le glory hole, et ses yeux perçants m’observèrent avec un grand sourire, un sourire qui promettait à la fois plaisir et douleur. Elle ouvrit ensuite la porte et m’invita à entrer, me demandant de m’avancer vers un cercle éclairé au sol par la lumière filtrée à travers un interstice entre le mur et le rideau, créant une atmosphère à la fois intime et inquiétante.

Madame Lule me rappela les règles de sécurité avec une voix douce et apaisée. Elle m’invita à m’asseoir sur le tapis sous les chaînes qui pendaient du plafond, leurs maillons brillant faiblement dans la lumière tamisée. Elle me mit un masque sur la tête, m’expliquant que cela m’aiderait à me relaxer et à profiter pleinement du moment.

Elle continua en attachant mes bras derrière mon dos avec des sangles, me contraignant pour les sévices à venir. Une fois mes bras solidement attachés, elle me demanda de me baisser sur le côté pour m’allonger sur le ventre. Elle se dirigea ensuite vers mes jambes, en me demandant ce qu’elle avait préparé pour moi.
Elle commença par m’attacher les jambes avec des cordes, les enroulant plusieurs fois autour de mes cuisses, de mes mollets, de mes chevilles et même de mes orteils. Chaque nœud était serré avec soin, s’assurant que je ne puisse pas me libérer de ces contraintes.

Elle poursuivit ce bondage avec une corde en coco, dont la texture fibrée et piquante accentuait chaque sensation. Pendant ce minutieux travail, Madame Lule déposa sur mon dos un tapis couvert de petits piques, qui firent immédiatement leur effet. Elle en profita pour s’appuyer dessus, faisant pénétrer les piques dans ma peau, préparant mon dos aux futurs sévices.

Ensuite, Madame Lule se saisit d’une roulette de Wartenberg et la fit parcourir le long de mon corps, des jambes jusqu’au cou. Les sensations variaient selon les zones : des petits picotements sur les jambes et les fesses, des chatouilles au niveau des poignées d’amour, des picotements plus intenses dans le dos, et les prémices de l’extase lorsqu’elle passait le long de ma colonne vertébrale.
Pendant ce temps, elle versait de la cire chaude sur mon corps, créant un contraste saisissant avec le froid d’un glaçon qu’elle faisait glisser sur ma peau. L’accumulation de ces sensations opposées me désorienta, me faisant oublier tout ce qui se passait autour de moi.

Elle décida ensuite de me détacher, de m’enlever le masque et je me retournais pour que je me retrouve sur le dos. Mes mains furent aussitôt liées entre elles. Madame Lule se dirigea vers mes jambes et les enveloppa dans du cellophane, faisant de multiples tours et les serrant bien fort l’une contre l’autre. Cette sensation étrange, que je n’avais jamais éprouvée auparavant, rendait chaque mouvement difficile, le plastique mordant ma peau et accentuant mon sentiment d’impuissance.

Après avoir solidement joint mes jambes, elle les attacha aux chaînes métalliques situées juste au-dessus, me laissant allongé au sol, vulnérable et à sa merci. Madame Lule positionna des électrodes au bas de mon ventre, les activant pour qu’elles se déclenchent au moindre bruit.
Elle me présenta ensuite un ennéaèdre, chaque face correspondant à un instrument. Elle déposa le dé dans ma main puis je le lançai au sol. Le chiffre quatre apparut, mon chiffre préféré, mais aussi celui associé à la roulette de Wartenberg.

Les piques de la roulette explorèrent mon corps à différentes vitesses, passant par mes cuisses, mon ventre, ma tête, et bien évidemment mes tétons, si sensibles que j’avais dû les cacher pour les protéger. Madame Lule prit un malin plaisir à me bloquer les bras, son sourire cruel trahissant sa satisfaction. Elle profita de mon immobilité pour torturer minutieusement mes tétons, variant les mouvements pour maximiser la douleur.

Après quelques minutes, elle lança de nouveau le dé, qui tomba sur le chiffre six. Elle me montra l’instrument associé : des pinces, pourquoi tant de malchance (rire) ? Son esprit sadique l’orienta de suite vers mes tétons déjà martyrisés, ajoutant des poids pour augmenter la douleur.
Lorsqu’elle retira les pinces, la douleur s’éleva exponentiellement, provoquant des grimaces incontrôlables mais la torture n’était pas finie. Elle remit quelques secondes plus tard les pinces, et la douleur atteignit un summum inexplicable.
Pour ajouter à mon supplice, Madame Lule me chatouilla, déclenchant des fous rires qui, à leur tour, activaient les électrodes, créant une chaîne sans fin de cris et de douleur.

Témoignage de K.