Faible résistance

Une séance chez Madame écrite par un soumis qui s’imagine dans la tête de Madame… Switch de point de vue !
Adresse, ok.
1er Interphone, ok.
2e Interphone, ok.
Après une attente un peu plus longue que prévue, le voilà qui monte les escaliers. À quoi va-t-il bien pouvoir ressembler ? Sera-t-il à la hauteur ? La connexion sera-t-elle au rdv ?
Toc Toc Toc, le voilà qui frappe, j’ouvre la porte, le fait rentrer.
Il est vêtu d’un masque, un style casual, je le fixe. J’assure mon autorité.
Il est la devant moi, les mains tremblantes, les jambes frêles, apeuré comme un animal. Et ce n’est que le début.
Ses chaussures retirées, je lui fais déboutonner sa chemise, retirer sa ceinture qu’il me remet.
Je le regarde. Comprend-il que je pourrai lui faire mal avec cette dernière ? Il comprend qu’il est sous mon joug à présent. Caleçon retiré, à ma merci, je peux enfin prendre le contrôle. Une main sur son cou, l’autre sur ses fesses, il est à moi.
Son corps ne trahit pas son excitation… Je vais calmer ses ardeurs en le faisant passer dans la chambre, ça commence à me plaire. Il m’a vu douce mais la première gifle que je lui prépare risque de le surprendre, il est prévenu.
Clacccc, il n’a pas tourné la tête, c’est bien, j’en rigole.. et lui crache au visage. Sous mon contrôle, il ne dit rien.
À genoux maintenant !

Voilà les premières scènes de la séance gravées dans ma mémoire madame…

Le voilà à genoux, moi prostrée devant lui le regardant de très haut. Son épaule droite ruisselle de bave, son corps est luisant. Ma jupe en cuir luit également… Je vais lui apprendre à nettoyer. Je lui ordonne, il s’exécute de sa langue.
– Quel goût ça a ?
– Salé, Madame.
Je suis sûre qu’il n’avait encore jamais goûté sa semence auparavant.
Son sexe est en érection, je vais tester sa résistance… Elle est faible, au moindre contact, il glousse qu’il pourrait jouir (nous n’en sommes qu’aux prémices).
Ma main pleine de bave et de son liquide, je lui tartine bien le visage et lui fait lécher comme il se doit.
Je lui montre le chemin de la salle de bains. J’espère que cette petite pause va le calmer un peu…
– Tu vas entrer dans là-dedans a 4 pattes, comme un animal, c’est plus humiliant !
J’ai déjà en tête la suite de la séance. Il ne sait ni ce que je lui réserve, ni l’envergure de ma pièce secrète.
Dans 5 min, il frappera et attendra que je lui dise de rentrer.
Toc Toc Toc.
Il frappe à la porte, l’antre de la Maîtresse va s’ouvrir à lui. Je le regarde, il m’a l’air plus calme. Je le vois zyeuter à droite à gauche comme pour prendre mesure de la pièce sombre, feutrée dans laquelle il se trouve. Il ne verra rien puisque statique, au milieu de la pièce, je lui demande de fermer les yeux.
Je sens le stress l’envahir, que vais lui préparer, à quelle sauce ? Lui novice n’en sait pas grand-chose. Mais rien, je le fais languir, je le vois même entrouvrir l’œil droit, je ne dis rien puis qu’il sera puni plus tard.
Je tournoie autour de lui, puis l’autorisant à ouvrir les yeux, j’ouvre le rideau rouge, énergiquement, comme rythmée par la musique qui passe.
Il a peur, je le sais, il regarde, jette des coups d’œil furtifs sur tous les objets que je pourrais utiliser sur lui. Des objets qui pourraient lui faire mal… Et malgré ça il bande toujours.
Je vais l’embrasser, ou plutôt lui cracher de la salive dans la bouche pour assouvir mon autorité avant de le mettre à quatre pattes, yeux bandés d’un foulard.
Sur ses genoux et sur ses mains, je tourne autour de lui, son cul bien en évidence, à croire qu’il aime déjà ça (ou pas) et pourtant il n’imagine pas la salve de fessées qu’il va se prendre !
Bam clac clac clac bamm. Je lui chuchote que les parties les plus douloureuses se trouvent à la jonction des fesses et de la cuisse et Bamm je lui décoche à nouveau un coup. Il me dit qu’il est sensible à la douleur, la mauviette, j’ai déjà remarqué qu’il est sensible tout court et à tout ! Ses fesses bougent toutes seules comme pour limiter l’impact de mes mains, alors j’insiste et lui crache même dessus. Beau soumis qu’il est.
– J’ai très envie de t’enculer, dis-moi que tu ne peux rien me refuser. Dis-moi que tu es prêt à tout, même à te faire pisser dans la bouche…
Il répète, sous la contrainte certes mais il répète. Alors je l’embrasse, qu’il boive ma salive au passage.

Je lui pisse sur le flanc gauche, pas de réaction si ce n’est un gloussement, je pense qu’il est sous le choc, il ne sait pas encore comment l’appréhender mais je réitérerai, après tout il m’a écrit ses limites noir sur blanc !

Je suis en transe, l’effet des endorphines, il m’en faut plus, ça faisait longtemps. J’ai très envie de jouer avec son cul, pour ça je retire ma jupe, je le vois me regarder, il me désire, il regarde mon entrejambe, mes fesses, ce qu’il ne sait pas c’est que je vais l’étouffer avec dans une, deux, trois secondes, ça y est, ma chatte et mon cul sont collés à son museau. Il renifle je le sens et ça l’excite.
Sa queue se dresse d’un coup sec. Je l’attrape, la serre fort, très fort, ses couilles avec, jusqu’où ira-t-il ? Il n’en peut plus.
J’ai déjà préparé son cul avec mes doigts, je vais l’enculer, c’est décidé. Doucement j’enfile mon gode-ceinture, tout doucement pour qu’il regarde et prenne la mesure de ce qu’il se passe… il va même le sucer, mais il rechigne, il tire du cœur le pauvre pépère. Il n’aime pas véritablement cela je crois, un dernier coup au fond de la gorge et j’arrête.
Il n’en peut plus, de partout d’ailleurs, dès que je le touche il manque de jouir.
La séance serait-elle trop intense ? Hors de question il ne jouira pas avant que je l’encule.
J’y vais doucement, je ne veux pas me mettre mon soumis à dos (en plus il est beau et je l’apprécie – ça c’est pour moi c’est cadeau dans le texte). Je le vois se donner à moi, essayer, rechercher les sensations, apprécier, passer d’une douleur subjective au plaisir.
Je le regarde, je suis là, à l’écoute, qu’il me parle. C’est aussi ça, être Maîtresse professionnelle.
Je lui repisse dessus, sur le ventre, je sens qu’il aime la chaleur qui contraste le froid du plug que je lui ai inséré.
Son orgasme sera long et puissant. Son regard dans le vague, je le sens exténué, je le regarde, accroupi à côté. C’était intense, pour moi aussi.
Mon soumis reviendra-t-il ?

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