Tout pénétré de cette idée…
Ce récit relate la séance scénarisée que Madame Lule a eu la générosité de m’accorder. Le contexte du récit est purement fictif, la séance fut, elle, bien réelle.
G.
Je suis un entrepreneur intrépide qui grâce à son culot et à son audace a réussi. Jusqu’à ce jour rien ne m’avait résisté, mon succès en affaire et avec les femmes était inexorable jusqu’à ma rencontre mardi dernier avec cette cliente un peu hors du commun… J’ai lancé ma première boutique de chaussures à Suresnes il y a 15 ans et grâce à mon flair, mon intelligence et à ma capacité à m’imposer, j’ai pu ouvrir 18 boutiques dans toute la France, à Paris, Lyon, Bordeaux, etc. j’ai toujours réussi avec les femmes, quand vous les connaissez bien vous savez qu’elles aiment çà et qu’elles n’attendent qu’à se faire saisir par la chatte pour se faire prendre. Je le vois tous les jours avec mes employées…
Mardi dernier donc, ma collaboratrice étant malade, je tenais la boutique ; en période creuse, j’étais seul. Alors que je rangeais le magasin (il en avait bien besoin), une femme très belle qui ne manque ni de classe ni d’allure entre. Elle recherche des escarpins et semble savoir ce qu’elle veut à entendre son ton assuré et plein de confiance. Je lui fais essayer différents modèles que nous avons en rayon, j’en profite pour lui faire quelques plaisanteries bien senties (elles aiment ça), elle me recadre. La dame ne manque pas de caractère, ni de sens de la repartie qui peut être assez saignant, j’aime ce type de chasse où la proie peut causer quelques morsures à son chasseur… et j’aime ce type de femme qui a du chien !
Ses pieds sont magnifiquement dessinés, chacun de ses orteils est sublimement proportionné aux autres. Alors que je glisse ses pieds dans les chaussures, je goute avec délice de la paume de mes mains la douceur de sa peau et l’impressionnant volume de ses mollets qui est l’apanage des femmes sportives, j’adore….
Alors que nous échangeons des paroles à fleurets mouchetés (je dois avouer que cette femme est habile et qu’à chaque fois, c’est elle qui me touche, qui me mouche), soudain tout dérape. Au début je crois que c’est parce que ma main est remontée assez haut le long de sa cuisse sous la jupe mais à la réflexion, je me demande si ce n’est pas ce que je lui disais en même temps de mes collaboratrices qui aiment se faire baiser fort.
Donc, alors que je glisse ma main entre ses cuisses, elle me la saisit, me fait une clé de bras, sort des menottes de son sac à main (mais quelle femme a des menottes dans son sac à main ?!?!) et me voilà, ni une ni deux, à genoux les mains menottées derrière le dos !
La femme entre alors dans un état de folie furieuse qui devient très inquiétant, je comprends que je n’ai pas intérêt à résister. Elle me prend par le cou, me fait basculer en avant et en profite pour s’asseoir sur ma nuque. Elle se moque de moi, n’hésite pas à m’humilier en me rappelant ce que je lui disais sur mon succès avec les femmes et comment je traitais mes collaboratrices et en me précisant dans quelle position pitoyable je me trouve. Ses remarques deviennent de plus en plus mordantes, elle saisit une paire de ciseaux qui traînait, les brandit d’un air menaçant avec un sourire vicieux et met en lambeaux ma chemise et mon pantalon ! Et là, tout en me narguant et me rappelant la position dans laquelle je me trouve, elle me viole en me glissant dans le fondement ses doigts tout en ricanant .
Elle est toujours assise sur moi, elle triomphe et elle en jubile. Je suis saisi de honte et de frayeur mais ce n’est pas le plus terrible : cette redoutable femme constate que je mouille « comme une fille » par la queue, elle jouit de me le faire remarquer dans d’énormes éclats de rire qui tonitruent dans le magasin et de cyprine qui shampouinent ma chevelure. Et je dois bien me rendre à cette évidence effrayante : oui, c’est incompréhensible, mais je prends bien un énorme plaisir mêlé à cette peur et cette honte, à me faire dominer ainsi par cette femme sublime et puissante et à me faire prendre par une telle femme. Ployant sous sa croupe de reine, je suis incapable de me dégager de son emprise si bien qu’elle continue à me posséder, sous une pluie de sarcasmes obscènes, de ses seuls index et majeur. Mon Dieu, quel pied…
Je commence à peine à m’habituer qu’elle se relève, me saisit par les cheveux et me pousse dans le canapé du fond de la pièce. Je me retrouve sur le dos, elle s’appuie sur ma gauche de la main droite de tout son poids contre le haut de mon thorax alors que je suis toujours menotté, pose de manière impérieuse son genou gauche sur ma cuisse gauche, écarte de sa main gauche ma cuisse droite. Je suis de la cire molle, incapable d’opposer la moindre résistance, en fait je crois, et c’est le plus terrible, que je ne veux surtout pas m’opposer à elle et que je n’attends qu’une seule chose…
Un sourire démoniaque irradiant de bienveillance illumine son visage : alors que celui-ci était pris de spasmes de plaisirs monstrueux et mauvais qui me faisaient craindre le pire, il se métamorphose soudainement de manière incroyable ; empli d’une grâce toute raphaélique, ses traits en adoptent les harmonies de sa douceur. Ce masque terrifiant d’une furie vengeresse et déchainée que je craignais devient par une magie inexplicable le visage sublime d’une amante toute d’attention.
Je comprends ce qui va se passer, je le comprends et je le désire ardemment, ma maîtresse glisse insensiblement doucement et irrésistiblement sa main gauche à l’intérieur de mes cuisses … tout comme j’avais tenté de le faire plus tôt sous sa jupe.
Trois de ses doigts sont maintenant glissés en moi, je suis tout humide, ma maîtresse me calme d’une voix douce, elle m’assure que tout se passera bien, me retire les menottes puis me caresse tendrement la joue du dos de sa main libre.
Elle a mis ses cinq doigts. Cela devient douloureux, la peur m’envahit. Ma maîtresse perçoit ma peur ; d’une voix très douce, elle me rassure, me caresse les cuisses, me demande si ça va et me dit qu’elle va continuer. La douleur s’intensifie alors que cette femme fascinante me berce de sa voix enchanteresse, puis d’un coup, je sens que le cap est passé, la douleur disparait et sa main peut alors s’engouffrer en moi. Comme c’est bon…
Par de longs et tendres va-et-vient son bras disparait petit à petit en moi. Mon amante me prend et me baise de son bras de manière de plus en plus passionnée. Je l sens bouillante de désir, de plus en plus enflammée, totalement excitée de me pénétrer toujours plus profondément, sa voix devient extrêmement sexuelle et elle me baise non seulement physiquement par mon anus mais également mentalement par mes orifices auriculaires , elle est comme entrée en transe, son visage connait l’extase des saints martyrs des temps anciens. L’inquiétude qui me reprenait s’efface devant le sentiment jouissif de lui appartenir entièrement de tout mon corps et de toute mon âme. Comme c’est bon de se faire baiser ainsi par une femme aussi extraordinaire. J’ai horriblement honte de l’avouer, mais j’ai pris tellement de plaisir à me faire posséder ainsi, jamais je n’aurais imaginer que le fisting pût me procurer une jouissance aussi profonde ; j’ose à peine me l’avouer mais je rêve qu’elle repasse dans ma boutique pour me baiser à nouveau de la sorte !
Mon amante sort en lenteur et tout en douceur de tout son membre puis me montre jusqu’à quel point elle est allée en moi : de l’ensemble du poing, du poignet et des deux tiers de l’avant bras ! j’admire son savoir-faire, son assurance, sa dominance… et sens pointer stupidement au fond de moi ce sentiment de pamoison que ressentent les vierges pour les hommes qui leur ont fait connaitre leur première pénétration sexuelle.
Je peine à rassembler mes esprits qu’elle me dit qu’elle n’en a pas encore fini avec moi : elle sort de son sac à main son sourire de succube vicieux et effrayant et un énorme gode qu’elle installe à l’aide d’un harnais en prolongement de son clitoris . Elle pousse sans trop de difficulté mon visage près de sa grosse queue. Je sais ce que j’ai à faire. Elle me rappelle à nouveau comment je traite mes collaboratrices. Je comprends alors comment je me comporte de manière ignoble avec elles, comment j’abuse de ma position pour les contraindre à des relations sexuelles brutales qu’elles ne désirent absolument pas, quel con… je suce, je suce, et pendant que je la suce me revient subitement à l’esprit l’idée que cette femme qui me domine aussi violemment est admirable de caractère, extraordinaire de personnalité et tellement noble dans son ambition de rendre justice à ces femmes que j’ai oppressées et de faire de moi un homme meilleur.
C’est tout pénétré de cette idée que je prends conscience que j’ai une chance incroyable qu’une femme aussi sublime me laisse lui sucer sa belle bite. Quel plaisir je prends à sucer cette implacable dominatrice, comme c’est bon d’être sa chienne! je m’applique autant que je peux à lui donner satisfaction et plus je m’applique plus j’en prends du plaisir . Après un long silence, le verdict me frappe comme une gifle inattendue en plein visage : « Salope !». Ce que je pensais intérieurement des femmes, de celles que je baisais entre autres, mes employées en particulier, mais que je n’avais jamais osé leur dire, eh bien cette femme exceptionnelle me le jetait en pleine face. Alors que je suis sonné par cette claque, l’impitoyable dominatrice me plaque le visage contre le sol et me termine en me labourant le cul en levrette dans d’implacables coups de reins qui m’arrachent des entrailles des gémissements sourds de plus en plus profonds .
Plus jamais je ne manquerai de respect aux femmes. J’ai d’ailleurs changé radicalement d’attitude envers mes collaboratrices. Au début, elles ne comprenaient pas mais elles commencent à s’y faire, certaines prennent même des libertés : alors que je me penchai pour ranger un carton, l’une d’elles m’a fait, alors qu’elle passait près de moi, une bonne claque sur les fesses qui lui étaient malencontreusement offertes ; après un instant de silence, une autre a murmuré « salope ! » exactement de la même manière que l’avait proféré la dominatrice , insulte qui fut suivie de deux gloussements étouffés à deux autres endroits distincts du magasin. Je commence à être inquiet, comment vais-je les tenir ? mais ce n’est pas ce qui m’effraie le plus : je sais que si cette fatale dominatrice décidait de me mettre la main dessus, je deviendrais alors son jouet, incapable de lui opposer la moindre résistance ; être son objet sexuel fut pour moi une telle jouissance et que cette femme exceptionnelle exerce sa dominance sur ma personne pour me contraindre à m’abandonner à elle fut d’une telle félicité que je n’aspire désormais plus qu’à ce que cette terrifiante expérience se reproduise