Prisonnier de votre volonté

Après notre première rencontre très agréable d’hier, vous m’avez dans votre grande bonté prêté une cage de chasteté et des bas, ce qui m’a ravi.
Quelle chouette sensation de prendre les transports avec cette cage et ces bas qui me gainent les jambes ! Je me sens complètement prisonnier de votre volonté, et je dois avouer que cela m’excite beaucoup. Malgré tout, il fallait absolument que je me retienne de bander pendant ce trajet et les premières difficultés se font ressentir : pour une raison que j’ignore, lorsque je mettais mon masque (obligatoire dans les transports), j’avais encore l’arôme délicat de votre culotte… Cela m’a beaucoup excité, et la cage me pinçait lorsque je bandais. Je m’arrêtais parfois de marcher pour essayer de remettre discrètement mes testicules en place… Si des gens me regardaient à ce moment-là, ils devaient se demander ce que je fabriquais tout seul à me remuer comme ça.
La deuxième difficulté est que je marche vite. J’ai donc tendance à faire de longs pas, mais la cage de chasteté fait alors un petit bruit métallique, bien qu’assez discret. Je me suis contraint à marcher lentement, ce qui est compliqué pour moi. Cette sensation humiliante me ravissait même si j’essayais de ne penser à rien pour ne pas bander trop fort et ne pas avoir mal.

Une fois arrivé chez moi, je me suis regardé dans la glace, avec cette ceinture de chasteté et ces magnifiques bas (que je mets comme un idiot mais pas grave, l’intention y est). Je me suis imaginé avec ces bas verrouillés par vos soins à un porte-jarretelles, et j’ai eu très envie de me masturber. Après tout, la clé était dans la poche de mon jeans… /…/

Le moment du coucher a par contre été une toute autre histoire. Vers 1h du matin je me sentais nerveux et incapable de m’endormir. Il fallait que j’évacue toute la frustration que Vous m’aviez infligée. Une partie de moi voulait vous trahir et ouvrir ma cage alors que l’autre voulait vous rester fidèle et se retenir encore…

Témoignage de Clément.