Bienséance, déchéance

Nous montons l’escalier en silence, vous devant moi, Lorelei derrière. Je me sens comme un prisonnier sous bonne escorte. Nous pénétrons dans l’Alambic.
Dans l’entrée, vous reprenez la main sans me laisser une seule seconde de répit. Alors que j’ai encore mon manteau, vous me lancez avec un regard de défiance amusée :
– Sors ton sexe !
Je m’exécute lentement, encore sous le choc de cet ordre brutal auquel je ne m’attendais pas si tôt. Puis vous me faites faire une petite danse perverse dont vous avez le secret, m’obligeant à tourner sur moi-même, en faisant une pause de quelques secondes, coté pile et coté face.
Quand je suis de dos, vous me lancez juste un mot « bienséance » et quand je vous fait face, le sexe à l’air, bien dégagé de ma braguette, vous enchainez par « déchéance », pendant que Lorelei cherche à fixer mon regard troublé. Et puis plus vite, tourne, tourne encore, « bienséance, déchéance, bienséance, déchéance »… Ritournelle exhibitionniste qui m’emporte déjà dans un léger vertige. Vous riez de bon coeur de la créativité de votre perversité.

Puis direction la salle de bain. Plantée devant moi sur le seuil de la porte, Lorelei m’ordonne de me déshabiller. Elle remarque que la couleur de mes chaussettes est assortie à mon pull, violet.
– Enlève tout, sauf tes chaussettes et ton pull, ça sera plus joli comme ça, parce qu’à partir de maintenant, on va te faire faire tellement de trucs, ça va pas être très beau à voir aha !
Une fois à moitié nu, sexe et fesses à l’air, je découvre un élément de décor étrange. Alignés devant le lavabo, juste au rebord du meuble blanc, une dizaine de godes de toutes tailles et de toutes formes se dressent fièrement vers le plafond, comme une accumulation phallique.
Vous m’expliquez les règles du jeu :
– Tu vois ces 10 godes ? Alignés de 0 à 10. Et bien, pour te souvenir qu’on ne donne pas son numéro de téléphone à n’importe qui, tu vas sucer chaque bite dans l’ordre de ton numéro. Allez c’est parti ! Zéro, c’est celle-ci à l’extrême gauche, allez va la sucer !
Immobile, abasourdi par l’inventivité de cette punition, j’entends Lorelei me sortir de mon immobilisme :
– Allez, qu’est-ce que t’attends, va la sucer, et montre nous comme comme tu aimes ça aha !
Ce premier gode est de taille raisonnable, je baisse la tête et le prends dans ma bouche. Doucement. Lorelei se tient à ma droite, son visage très près du mien pour ne rien rater de ma première fellation.
– Attends, crache dessus, je veux que ça glisse bien !
Elle me dirige gode après gode, dans l’ordre des 10 chiffres de mon numéro de téléphone. Je suce toutes les bites du mieux que je peux, crachant sur tous les glands, descendant le plus loin possible, accélérant, ralentissant, parfois juste de la langue de bas en haut, et autour du gland.
Vous êtes un peu en retrait et m’encouragez en fessant mon cul. Mais c’est Lorelei qui dirige l’action, et qui impose le rythme et l’intensité. Elle appuie ma tête vers le bas et la maintient en deep throat, cherchant à me faire perdre mon souffle. Elle m’attrape par les cheveux pour passer d’une bite à l’autre, me donne des bifles avec les godes ruisselants que j’ai sucées, me couvrant le visage de ma bave, en rajoutant encore en me crachant dessus énergiquement.
Peu à peu, je perds tout contrôle de moi-même, je subis la domination sans concession, verbale et physique de Lorelei, qui redouble encore quand arrive le plus gros gode la rangée, un truc énorme, absurde. J’arrive à peine à le prendre dans ma bouche ouverte au maximum de ma mâchoire. Une fois le gland rentré, je ne peux presque plus rien faire, impossible de faire le moindre aller-retour.
– Allez, allez, force toi un peu, je veux te voir sucer ce gode géant, descends plus que ça, et remonte, et redescends !
J’arrive à bouger de quelques centimètres, mais j’étouffe. Lorelei m’attrape les cheveux et me force la tête de haut en bas et de bas en haut.
– SUCE j’ai dit, voilà, comme ça !
Mais n’en pouvant plus, je me dégage, totalement à bout de souffle, les yeux hagards, et le visage couvert de salive gluante.

Pensant avoir mérité quelques secondes de pause, je me redresse, pour vous découvrir postée devant moi avec un gode-ceinture autour de la taille. Aussitôt, l’orgie de fellations reprend d’un ordre sec :
– A quatre pattes !
Je m’exécute lentement, redoutant votre reprise en main, après l’épisode Lorelei.
– Viens sucer ma queue, allez viens la chercher !
Et c’est ainsi qu’en reculant pas à pas, accroupie, vous m’attirez, bite en bouche, vers le salon de jeux.
– Viens, avance, il est hors de question que ce gode sorte de ta bouche ne serait-ce que d’un centimètre tu m’entends ?
C’est comme si ma tête était devenue une fuck machine, en va et vient permanent.

Une fois arrivé à destination, quelques secondes de répit le temps que vous m’attachiez bras tendus en l’air, à genoux. Je remarque mon pull violet couvert de taches de salive et de bave moussante. Je relève la tête pour découvrir que Lorelei vous a rejoint. Elle aussi a maintenant un gode-ceinture à la taille. Elle se tient fièrement à 5 cm de mon visage, jambes écartées en bas noirs sur ses hauts talons, les seins nus, le regard encore plus noir.
– C’est l’heure de ton gang-bang aha ! Dis que tu veux encore plus de bites dans ta bouche. Allez dis-le !
Je m’entends prononcer ses mots, comme un somnambule :
– Je veux plus de queues dans ma bouche.

Vous vous positionnez devant moi, le bout de votre gode à quelques centimètres de ma bouche haletante de fatigue et d’excitation. Vous lubrifiez votre verge noire d’un filet de salive gourmand, parfaitement visé. Et d’un coup, vous vous guidez entre mes lèvres. Les mouvements de piston mécanique reprennent. Comme un automate je vous suce à fond, avec la confiance acquise de l’élève qui apprend vite. Et à cet instant, je ne veux plus rien faire d’autre de ma vie, que m’avilir et vous obéir encore et toujours.
Lorelei vient poser le bout de sa queue sur ma joue, m’invitant à la prendre. Comme pour me stimuler, elle crache sur sa queue et sur mon visage, plusieurs fois. Vos deux sexes rentrent maintenant alternativement l’un après l’autre dans ma bouche, de plus en plus vite, j’entends vos rires moqueurs.
Lorelei décide d’étudier d’autres options offertes par notre gang bang et vient se poster derrière moi. Je sens sa main s’approcher du creux de mes fesses. Comme par réflexe, tout en continuant à vous sucer, j’écarte un peu les cuisses pour lui ouvrir le passage. Elle pénètre un doigt, le majeur, et commence à aller et venir en moi sans ménagement.
– Alors, tu t’es déjà fait prendre par tous les trous, t’aimes ça hein ? dit-elle en accélérant le mouvement.
Comme pour me faire regretter d’y avoir pris un peu trop de plaisir, elle retire sa main et me fouette les fesses avec son martinet. La douleur me cambre. Votre bite s’échappe. Le temps s’arrête quelques instants, je reprends mon souffle, et Lorelei sa position devant moi. Elle enfonce sa queue dans ma bouche qui n’en peut plus.
– Suce encore !
Je vais jouir. Je me dégage du sexe de Lorelei pour demander la permission, que vous m’accordez. Avec agilité et souplesse, Lorelei parvient à récupérer la majorité de mes jets de sperme sur son gode. Elle attend patiemment que mes spasmes de plaisir se calment, puis approche une dernière fois de ma bouche sa queue recouverte de mon sperme :
– Sors ta langue, et nettoie moi tout ça !
Je m’exécute d’un premier coup de langue timide. Alors que j’hésite un peu sur la technique à appliquer, elle précise :
– Lèche et avale tout, jusqu’à la dernière goutte !
Une fois ma tâche accomplie, Lorelei pose son gland sur mes lèvres et me lance le plus sérieusement du monde :
– Bisou !
J’embrasse sa bite et m’effondre d’épuisement, en riant.

Témoignage de Paul.
PS/ Le soumis sur la photo d’illustration n’est pas Paul.

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