Votre site découvert hier m’émerveille. Je Vous remercie du fond du cœur et de mes tripes pour l’abondance de dons pervers dont Vous gratifiez vos lecteurs, auditeurs, voyeurs et soumis. Je ne pouvais que m’abonner de suite et pour le plus longtemps possible, sûr de déguster votre œuvre avec délices et d’en redemander toujours.
Depuis vingt-quatre heures, mes premières bouchées littéraires, sonores et visuelles me font passer de l’ordre des certitudes à celui des révélations. Je devrai me faire violence pour apprécier un tel festin en gourmet plutôt qu’en goinfre – violence délectable, évidemment, comme celles que Vous ferez subir à mon imagination.
Quelle savoureuse coïncidence, hier, de découvrir que votre tâche du jour venait d’être accomplie par la grâce de mon abonnement à votre site. La Férule n’est sans doute pas une association au sens de la loi 1901, mais le tourbillon d’associations dont elle gratifie mes sens œuvre puissamment en faveur des femmes, et notamment d’une Femme.
Merci, Madame.
Merci, C.
