Cette torture interrompue

Je franchis à nouveau cette porte, légèrement essoufflé et anxieux, mais impatient de découvrir ce que Madame Lule a imaginé pour moi.

Douché, nu sous ma chemise de satin, Madame Lule me présente doucement les chaines qui me sont destinées, laissant courir mon imagination.

Équipé de menottes au poignets et au chevilles, je suis bientôt, assis et sévèrement enchaîné à un prie-dieu. Les chaînes plaquent mon torse et mon abdomen au dossier du prie-dieu, mes membres sont attachés à ses pieds.

Oups ! Ma jambe gauche se libère seule s’opposant aux tentatives d’immobilisation de Madame Lule.

Apercevant mon regard facétieux, Madame Lule me lance :

– Du calme Houdini.

Finalement la jambe récalcitrante est bientôt définitivement emprisonnée. 

Elle ajoute une barre d’écartement au dessus de mes genoux, puis elle s’assied en face de moi, soulève ma chemise et me fait comprendre que je suis désormais à sa merci.

Munie de trois roues de wartenberg, elle les fait rouler tour à tour sur mes cuisses et parfois sur mon sexe. 

Il s’en suit une longue succession de cette torture interrompue par des pauses pendant lesquelles Madame Lule me promet sa reprise afin que j’en redoute la douleur à venir. Parfois elle ajoute un vibromasseur entre mes jambes, parfois elle pince mes tetons en même temps et accentue la pression des roues.

Après cette longue période, je suis attaché à la croix de saint André. Mes tetons sont pincés, mon sexe fouetté. Madame Lule me met un soutien-gorge garni de pointes, elle le presse avec force sur mes tetons. Douleur intense.

Enfin sur le dos, les jambes attachées à  un portique fixé plafond. Je fais connaissance avec Ugo que Madame Lule insère dans mon anus. Massage prostatique combiné avec vibromasseur sur le sexe et pincements douloureux des tetons.

Je quitte Madame Lule, estomaqué et comblé, en fantasmant sur ce qui pourrait advenir lors d’une prochaine séance.

Témoignage de F.