Blason de Wilfried, inspiré par une tâche de mon ouvrage Le Malendrier.

Consulter Le Malendrier,
C’est aller à bonne école.
Le 21 (mars), il nous est proposé,
D’faire un blason à la malléole.
Fini d’faire mumuse,
Il faut en appeler aux Muses.
Penser à sa Maîtresse,
Celle qui sait si bien s’occuper d’nos fesses.
Convoquons Ronsard,
Et son blason au trou mignard.
Je te salue ô malléole,
Qui au sommet du pied séduit,
Me voilà bien petit,
À t’contempler aux pieds de mon Idole.
On me prend pour fol,
Quand me voilà réduit,
À lécher l’vernis,
De cet ongle de pied qui m’affole.
Ô joli relief, os saillant,
C’est toi la malléole qui me donne de l’allant !
Gaillard(E), ma langue s’aventure sur le cou-de-pied
Et c’est au moment où je crois m’élever
Qu’un ordre de ma Maîtresse me fait retomber sur mon séant :
« Rouge ! »