Premier entretien DRH
La photo dit tout… J’aime jouer à plusieurs, et particulièrement avec ma chère Indoctrinatrix.
M. Beauséjour fut notre victime, ou plutôt notre candidat à la débauche lors d’une séance mémorable.
Voici son récit.
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Je me suis porté candidat à une annonce de recrutement :
« Grande agence de communication de crise recherche un manager expérimenté, avec des qualités avérées de résistance au stress, et une grande capacité d’adaptation en temps réel à des situations imprévues ».
Je passe mon premier entretien aujourd’hui.
Rendez-vous à 15h avec l’assistante de la DRH qui m’accueille et me prie de m’asseoir en face d’elle dans un bureau qui ressemble à un petit salon cosy. Elle a les cheveux attachés, porte un tailleur noir assez strict avec une chemise blanche.
L’entretien démarre. Peu de place laissée à la fantaisie. Le ton est froid, distant, administratif, sans aucune chaleur. Description du poste, questions d’usage, expériences passées, motivations. Puis vient un petit test. L’assistante me tend des photos.
– Ces photos d’une de nos clientes ont fuité sur internet, que faites-vous ?
Je découvre une jolie femme blonde participant à des jeux érotiques, en culotte et soutien-gorge rouge et noir, entourées d’hommes nus. Je lance une idée :
– Je contacte un hacker sur le dark web et lui demande de supprimer les photos ?
L’assistante :
– Autre chose ?
– Euh… Je fais un communiqué pour dire que ma cliente est victime de deep fake ?
L’assistante n’a pas le temps de répondre, la porte s’ouvre brusquement, la DRH fait irruption dans le petit salon et braque son regard sur moi tout en s’adressant à son assistante :
– Vous n’avez pas reçu mon mémo ce matin sur les nouvelles méthodes d’entretien ?
– Non Madame la directrice, répond l’assistante, un peu embarrassée.
La DRH enchaiîne :
– Et bien vous allez les découvrir en direct, avec votre candidat, Monsieur… Beauséjour c’est bien ça ?
– Oui Madame.
– Oui Madame la directrice ! me corrige t-elle instantanément, avant de me lancer un ordre incongru. Levez-vous, enlevez une chaussure.
J’hésite un instant, ne comprenant pas très bien la direction qu’est en train de prendre l’entretien. A son regard, je comprends qu’elle s’impatiente. Une fois debout, je me plie en deux et délasse ma chaussure droite. L’assistante observe la scène un peu interloquée. La DRH l’éclaire :
– Un candidat qui prétend savoir résister à une déstabilisation, c’est tout bête, ça se teste en conditions réelles. Non, non, restez debout ! me dit-elle alors que j’avais l’intention de me rasseoir. Et enlevez votre chaussette.
Etrangement, j’obéis sans aucune intention de m’opposer à sa volonté, comme télécommandé par sa voix claire et autoritaire. Debout, le pied nu sur la moquette du petit salon, je réponds à la question suivante de l’assistante, que la DRH invite à poursuivre l’entretien, avant de l’interrompre quelques secondes plus tard :
– Les deux pieds nus, maintenant.
L’assistante cache un demi sourire, gênée. La DRH :
– Alors que pensez-vous de mes nouvelles méthodes ? Vous n’avez encore rien vu, aha !
L’ordre suivant tombe sans attendre :
– Enlevez votre pantalon et votre chemise.
Ma respiration s’accélère. Je pose délicatement mes vêtements sur la chaise derrière moi, je suis presque nu, je sens l’air frais dans mon dos et sans que la DRH me le demande, je redresse ma position, pieds nus serrés l’un contre l’autre, mains le long des cuisses, comme si je précédais ses exigences.
L’assistante reprend quelques questions, la situation trouble mes réponses, le débit de ma voix se fait hésitant, mes idées deviennent imprécises… La DRH le constate d’un air amusé, faussement étonnée :
– Quelque chose ne va pas ?
Elle vient maintenant s’asseoir à ma place, en face de son assistante, toujours assise jambes croisées dans le petit canapé. Je suis là, en slip, entre elles deux. La DRH :
– Tournez-vous face à moi.
Je suis dos à l’assistante.
– Enlevez-ça, me dit la DRH en désignant mon slip.
Je réalise alors que la dernière barrière de ma pudeur s’abaissant, l’entretien pourrait très bien progresser sans aucunes limites, soumis au seul désir de la DRH. Je ne me trompe pas.
– A genoux devant moi, venez vous caresser sur ma jambe, comme un petit chien, allez, hop hop !
J’imagine l’assistante dans mon dos, n’en perdant pas une miette alors que je commence des va-et-vient, sexe collé au mollet de la DRH qui m’encourage.
– Plus fort, branlez-vous plus fort, allez petit chien !
Basculant mon bassin de manière ridicule vers l’avant, j’entends l’assistante faire un commentaire :
– Très instructives, ces nouvelles méthodes, Madame la Directrice.
La DRH met fin à la séance de masturbation canine, pensant qu’un accessoire permettrait d’améliorer la scène. J’ai maintenant un collier de cuir attaché serré autour du cou et une boule noire dans la bouche, assez inconfortable et me faisant baver dès les premières secondes.
La DRH accroche la laisse au collier et m’ordonne de la suivre à quatre pattes pour un petit tour de la pièce. Les questions de l’entretien reprennent, je réponds tout en avançant sur les genoux, tenu en laisse, et balbutiant des mots incompréhensibles qui me font beaucoup baver.
La DRH s’amuse à me faire répéter mes réponses, ce qui fait beaucoup rire son assistante. Je devine son regard sur mon corps, mes yeux, mon sexe, alors que je suis maintenant assis à genoux.
Je n’ai encore rien vu. La DRH me tend un plug anal vibrant à télécommande que je dois rentrer en moi puis garder, en restant bien assis dessus. Elle tend la télécommande à son assistante et l’encourage à découvrir toutes ses fonctionnalités.
Je sens les vibrations s’intensifier dans mon anus. Je ressens du plaisir, ou de la honte, je ne sais plus, à la plus grande joie de l’assistante.
Pour pimenter l’entretien, si on peut encore appeler ça un entretien, alors qu’on est maintenant en pleine séance de BDSM, la DRH me fait répéter plus de trente fois la phrase « J’aime la queue dans mon cul ».
Je balbutie ces mots vulgaires en bavant des litres de bave.
Le plug vibre de plus en plus fort, je me tortille à genoux, roule des fesses. Une pause bien méritée arrive alors. La DRH me fait me redresser et écarter les jambes, bien en face de son assistante, me forçant à exhiber mon sexe en position de soumission, les mains derrière la tête.
La DRH s’approche de moi et me crache à nombreuses reprises au visage, ses crachats se mêlent à ma bave, je sens mon visage dégoulinant et luisant de nos deux salives. Je dois me masturber en même temps.
– Allez, faites moi bander cette queue ! me lance-t-elle, avant de retirer la boule de ma bouche pour y plonger un gode jusqu’à la garde.
Je m’étouffe.
– Sucez bien à fond, comme ça, montrez-moi comment vous sucez des bites, vous allez bientôt faire que ça ici, vous verrez, aha !
Je dois lécher le bout du gode, reprends ma respiration mais elle le repousse soudain au fond de ma gorge et donne des allers-retours intenses, profonds, étouffants, épuisants. Je suce comme une machine, la bouche écartelée. Je sens tout d’un coup un liquide froid sortir par le gland du gode… C’est du café glacé, sensation insensée.
La DRH éclate de rire :
– Vous aimez mon foutre ? Avalez moi ça !
Puis elle me fait mettre à quatre pattes, toujours aux pieds de son assistante, avant de me monter sur le dos. Je me demande ce que son imagination va encore inventer.
Je suis fatigué.
Une pensée absurde me traverse l’esprit, j’en viens presque à valider sa méthode d’entretien « C’est du génie cette mise en situation, rien d’autre qu’un vrai test de dépassement de ses limites, pourquoi pas… « .
Ma pensée est interrompue par une sensation totalement inconnue. Je sens un liquide chaud couler sur mon dos. J’entends la DRH dans un rire diabolique.
– Excusez-moi, j’avais beaucoup trop envie, aha !
Je ne m’étais jamais fait uriner dessus. Sensation nouvelle de dégoût mêlée d’excitation. Son jet chaud dure des heures, l’urine coule partout sur mon dos et autour de moi.
Je dois m’allonger dans sa pisse, sur le dos, et jouir. C’est un ordre.
Je jouis rapidement, avec une explosion de spasmes libérateurs, sous le regard éberlué de son assistante.
Photo de flonflons : avec Indoctrinatrix dans l’antichambre du Cruel Boudoir.